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Rapports de séminaires

Septembre 2002

Rapport sur la réunion de réflexion informelle ACICI/CNUCED : L’économie politique des négociations de l’OMC sur l’agriculture

(tenue à l’ACICI, Rue de Varembé 9, Genève, le 17 mai 2002)



Introduction
Les négociations de l’OMC sur l’agriculture et la politique commerciale agricole de l’UE
Les résultats de la Conférence ministérielle de Doha et le rôle des pays en développement
Les perspectives du Japon concernant les négociations de l’OMC sur l’agriculture
L’impact commercial de la politique agricole menée par les Etats-Unis

I. Introduction


Note 1 : Il est important de signaler que ce sont les cinq membres latino-américains qui ont écourté les négociations de l’examen à mi-parcours à Montréal en 1988. Ce sont ces mêmes pays qui ont provoqué la rupture des négociations sur l’agriculture et, par là même, la Conférence ministérielle de Bruxelles, en 1990, pendant laquelle il était normalement prévu de mettre fin au Cycle d’Uruguay. (retour texte)

Note 2 : Ce groupe comprenait les pays suivants : Cuba, El Salvador, Haïti, le Honduras, le Kenya, le Nicaragua, l’Ouganda, le Pakistan, la République dominicaine, Sri Lanka et le Zimbabwe. (retour texte)

Note 3 : La catégorie verte comprend les subventions qui n’ont pas d’effets, ou des effets minimes, de distorsion des échanges. Elles sont donc autorisées sans restriction. Les mesures de la catégorie verte doivent être, en général, dissociées de la production, ce qui signifie que le soutien accordé ne doit pas être lié aux décisions relatives à la production. (retour texte)

Note 4 : La catégorie bleue autorise l’utilisation de subventions au titre de programmes qui ont pour effet de limiter la production, mais sans obligation de réduction. (retour texte)

Note 5 : L’article 13 de l’Accord du Cycle d’Uruguay sur l’agriculture exempte certaines mesures de subventions nationales à l’importation et à l’exportation d’être remises en question à l’OMC en vertu des dispositions du GATT de 1994 et de l’Accord sur les subventions et les mesures compensatoires pour une période de neuf ans (qui expirera en 2003) tant que les membres respectent leurs engagements conformément à l’Accord sur l’Agriculture. (retour texte)

 

 
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